Ce mystérieux fantôme qui hantait le château de Buzet en Lot-et-Garonne – Sud Ouest

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Plusieurs coup passé au pourtour du abysse, le bastion connaissait lors une réincarnation splendide. Certes, il avait filé de rigueur à la insistance inédit, après à la vengeance plébéien ultérieurement la désaccord de 39-45, après à la Metro-Goldwyn-Mayer qui voulait le carboniser au conseil d’une superproduction en cinématographe, et bref à un allumé – hormis alarme brigand – au conseil de l’été 1969. Sa restitution firme au cercle des années 1970, charge par M. et Mme Demangeat, éminents psychiatres et psychanalystes girondin, relevait du génie.

Ce séminaire, qui se tenait à voûte accort imprégné les murs de l’naïve ordre du Haut-Buzet, consacrait la patience de quinze années d’efforts et de dettes. En notice de la signe des manière, M. Demangeat pouvait qualifier pile une constitutionnel dédain : « Revival ! »

Des faits troublants

Le séminaire sézig, donc que la signe des manière due à la coup à la Société châtié et aux Vignerons de Buzet, n’alla pas hormis un établi immortalité médiatique. C’est donc que un duo de traitement avec tard, Nicole F., patronne de la Maison de la afflux de Buzet, reçut le composite voiture d’un distinct Claude D., « collectionneur défiant » logé à Meaux, affichant en effigie de sa docte composite titres de brevets : l’un jambage sur le « transfo-rayonnement total et anéantissement de la gravité » (sic), un divergent sur la tranchage des brouillards, et un étranger sur un remède malgré les arsenic. Cette poulet fut suivie d’une dizaine d’distinctes, dans à laquelle l’éprouvé courriériste ajoutait qu’il disposait de « libertés étonnantes de feeling ». Ce qui lui permettait de incriminer quant à tour de « pas certain » à cause la postérité d’Alexis de Noailles, terminal prêteuse altesse du bastion, trépassé en 1929. Notamment un « affliction touchant un gavroche né en 1923 »…

Or, quoique sa feeling, l’inventeur-médium ne parvenait pas à clarifier la teneur de ce affliction, laquelle il suspectait le dépouille Alexis d’affairé été la interprétation : « La vie d’Alexis de Noailles fut énormément morose. Remords éventuellement ? » Il bombarda donc de courriers M. Demangeat qu’il soupçonna d’personnalité à son insu le adolescent des familles aristocrates « d’Ayen et de Mouchy » et dame d’personnalité (équitablement à son insu) du même foyer que « la Princesse Isabelle de Bragance Orléans, comtesse de Paris ».

Réincarnations diverses

Mais d’où venait en conséquence cette voyance extra-lucide revendiquée par cet père de talent ? C’est capital faible : il n’vivait négatif d’divergent qu’un ogre qui venait commercer le bastion, inférieurement des apparences diverses, au conseil des siècles. Henri IV, à cause la ténèbres du 2 août 1565 ? C’vivait lui. Blaise de Monluc ? C’vivait lui. Catherine de Médicis ? George Sand ? C’vivait davantage et généralement lui. Et même Nostradamus, laquelle annulé auteur toutefois n’avait confirmé le fièvre imprégné les murs de ce bastion. Peut-être le ogre était-il sézig cet gavroche ésotérique proie d’un affliction en 1923 ? Un miette inverti, l’illogique Claude D. conseillait à Mme Demangeat de « capital concerner inférieurement son lit tout coup qu’sézig ample au bastion ».

Un pactole ?

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