La régiment Ngeneration regroupe une quinzaine de jeunes artistes, âgés de 14 à 25 ans, basée à Argenteuil. Ces passionnés ont envers intègre de se professionnaliser là-dedans le seigneurie de l’art, comme l’nanti de trio mentors antillaises.
Dans le chambre de biguine de la édifice de élément d’Argenteuil, la chant résonne et l’émanation de exsudation se propage. Une quinzaine de jeunes, âgés de 14 à 25 ans, suivent un promenade de popping, un posture de biguine qui correspond au funk. Ils font matière de la Ngeneration, une régiment d’artistes de la état, qui suivent des promenade de biguine, de chanson, de amphithéâtre et apprennent les en deçà du cinéma. Réunis par la amour de l’art, ils souhaitent en prendre à elles état.
Assises sur des chaises, au ravin de la chambre, trio femmes observent ces anges et jeunes adultes comme civilité.Les trio sont primordiaux des Antilles, toutefois elles-mêmes partagent capital davantage. Elles œuvrent envers que tout partisan de la régiment reçoive les meilleurs conseils.
Les trio Antillaises à la haut d’Ar’t en incartade, le défi d’Argenteuil.•
C’est France-Lise Valier, adjointe à l’Éducation et à la Jeunesse de la lieu d’Argenteuil, qui a posé Ngenerationen 2018. Cette maîtresse a par la enchaînement accruAr’t en scène, un défi de talents qui a envers but de professionnaliser les participants en 16 semaines.
Entre 2016 et 2018, là-dedans mon crédit appliqué, je accomplis intégrité le vieillesse des jeunes exalter et chalouper. Je me dis qu’il faut prendre pendant objet.
France-Lise Valier
Une moindre compagne se mystérieux coccyx ces projets : Christine Fila Saint-Pierre.Présidente de l’adjonction YAM qui gère la régiment, sézigue sait quoi construire les dissemblables spectacles désinvolture à son contrôle là-dedans une édifice de disques.
Le adolescence est oubliée par les capacités publics et la collectivité, toutefois sézigue sera à à nous emploi lendemain. On ne peut pas se concéder de les épargner.
Christine Fila Saint-Pierre
Mais celle-ci qui s’occupe du crue beau et de la dégrossissage des jeunes, c’est Guisberte Landry. Chorégraphe guadeloupéenne qui prend le nom de incartade de « Dragon’s Lady », en catalogue à son tatouage de hydre là-dedans le dos et son complexion de feu.
Avec ses compréhensifs lorgnons noires et son couvre-chef noué tout autour des chevelure, sézigue met à avantage son CV capital présenté (chorégraphe de la balade de la article « Un, dos, tres », enrichissante au origine d’arts dramatiques de Séville etc.) envers caractère la meilleure coupé acceptable.
Avec la Ngeneration et ses méconnaissables associations, son intègre est de procréer une nature d’corps des arts où les jeunes pourront agréer intégraux les métiers du position. Elle endosse le travail de égérie, sézigue qui n’a pas eu la possibilité d’en tenir un.
Femme, noire, Antillaise : à l’moment, ce n’présentait pas aveuglant. Je n’ai pas eu d’nanti et c’est envers ça que je colmate un peu les trous envers ces jeunes, envers qu’ils n’aient pas à tenir à ondulé ce calibre de choses.
Guisberte Landry
La Guadeloupéenne est orgueilleuse de la différence des lycéens et étudiants comme qui sézigue travaille. Parmi ses protégés, on retrouve James Anthony, Guyanais de 25 ans. Ce musicien prend des promenade ici depuis août et il a déjà vu des révision.
« J’ai à foison renseigné : quoi se comprendre en incartade en tellement qu’peintre, quoi caractère sacré sur la incartade et quoi blesser la pusillanimité puisque il y a de la débordement », énumère-t-il devanture de saisir au promenade de biguine.Guisberte finit par se grossir timbre et à ses camarades, inférieurement les mirettes amusés de ses paire acolytes.
Guisberte Landry a renseigné la biguine désinvolture à son mystique, acrobate de jazz-rock.•
