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Une étude américaine publiée lundi dernier met en lumière le lien entre les produits de défrisage utilisés par les femmes noires et un risque accru de développer un cancer de l’utérus. L’étude qui a suivi plus 33 000 femmes entre 2003 et 2009 révèle que le risque de développer un cancer est plus de 2 fois supérieur chez les femmes qui utilisent ces produits. Un risque accru dû essentiel à la nature des produits chimiques présents dans ce type de produits capillaires

Au cœur de la polémique, « le plan de départ exceptionnel » pour les soignants suspendus, proposé par Joël Mathurin, directeur de cabinet du ministre, Jean-François Carenco. Selon le collectif de lutte contre l’obligation vaccinale, le directeur du CHU, Eric Guyader, leur aurait vendu toute autre chose.

C’est à Saint-Barthélemy que le ministre délégué en charge des Outre-mer a passé son deuxième jour de visite officielle dans les collectivités du Nord. Jean-François Carenco y a parlé santé, lors d’une visite de l’hôpital de l’île, relativement désuet.

Encore trop peu de femmes répondent présentes aux actions de dépistage organisé du cancer du sein, en Guadeloupe et dans les collectivités du Nord. Cette maladie est pourtant la première cause de décès, par cancer, chez les femmes. Elles sont 200 à être touchées, chaque année, localement.

Depuis plusieurs mois, il est possible de connaître son taux d’exposition au chlordécone. Une simple prise sang, gratuite. Pour autant, seuls 1 252 prélèvements ont été réalisés, sur les 385 000 habitants vivant en Guadeloupe.

À peine rentrés dans la salle de réunion, qu’ils étaient déjà ressortis. Les négociations ont échoué jeudi soir à la sous-préfecture de Pointe-à-Pitre, entre le directeur de cabinet du ministre délégué chargé des Outre-mer et le collectif de lutte contre l’obligation vaccinale. Ce dernier refuse le « plan de départ exceptionnel » proposé aux personnels suspendus et continue de réclamer leur réintégration.